Chez Magic Makers, nous souhaitons que nos ateliers soient un terrain de jeu et d’apprentissage au sein duquel les enfants s’approprient la technologie et se sentent capables de créer et de donner corps à leurs idées.

C’est pourquoi nous avons conçu une méthode d’apprentissage issue de plusieurs courants et théories qui se complémentent et résonnent avec notre raison d’être.

 


Les principaux ancrages
de notre méthode pédagogique

 

1.
Nos makers apprennent d'eux mêmes, en expérimentant et en créant des projets.
Constructionnisme de Seymour Papert basé sur le constructivisme de Jean Piaget 

 

2.
Nos makers apprennent à travers la Spirale de l’Apprentissage Créatif : Imaginer, Créer, Jouer, Partager, Réfléchir, Imaginer, Créer, Jouer...
Mitchel Resnick, MIT Media Lab 

 

3.
Nos makers développent des connexions entre différentes idées et capitalisent sur ce qu'ils connaissent déjà pour apprendre de nouvelles choses.
Constructionnisme de Seymour Papert basé sur le constructivisme de Jean Piaget 

 

4.
Nos makers sont acteurs, le rythme et les directions de leurs apprentissages dépendent d'eux, de leur motivation, de leurs centres d'intérêt.
Pédagogie Montessori 

 

5.
Nos makers émettent leurs propres hypothèses, les vérifient et les modifient en expérimentant.
Pédagogie Freinet 

 

6.
L'assimilation et l'appropriation ne sont pas binaires (acquis vs non acquis), mais progressives. Plus nos makers répètent l'utilisation d'une notion, plus ils la comprennent de manière approfondie.
Bruner, Théorie de la progression spiralée 

 

7.
Il n'existe pas de groupe qui ne soit pas hétérogène : nos makers ont tous des niveaux, des intérêts et des rythmes d’apprentissage différents.
7 postulats de R. Burns 

 

8.
On apprend mieux à plusieurs : au travers de l'apprentissage entre pairs, nos makers apprennent à dialoguer, à mettre en forme leur pensée, à être solidaires.
Pédagogie Freinet 

 

9.
Nos animateurs observent et orientent, décortiquent une activité afin qu'elle puisse être prise en main et réalisée par nos makers.
Pédagogie Montessori 

 

10.
Le rôle de nos animateurs n'est pas de professer des notions mais d'être des facilitateurs qui coachent les makers pour atteindre leurs objectifs de création et d’apprentissage.
Constructionnisme de Seymour Papert basé sur le constructivisme de Jean Piaget


Concrètement, comment cela se décline
dans nos ateliers ?

 

Le coeur de l'atelier est le moment où l'enfant crée, expérimente, teste, débug ; il n'y a pas de cours magistraux, d'exercices ou de devoirs.

 

Les animateurs coachent les makers pour leur permettre de mener à bien leurs projets et ainsi construire leur compréhension des notions qu'ils utilisent; il n'y a pas de professeur donnant un cours.

 

Les makers sont moteurs de leur apprentissage : ils déterminent les détails de leurs projets selon leurs envies et leur motivation ; il n'y a pas une liste d’instructions pas à pas les menant tous à la même création.

 

Il n'y a pas un programme unique de compétences à acquérir ; les makers mobilisent et apprennent les notions parce qu'elles leur servent dans leurs projets.

 

Il n'y a pas d’homogénéité de niveau dans les groupes ; les makers créent à leur rythme et assimilent à leur rythme.

 

L'animateur guide les makers vers des projets qui les poussent à se dépasser, se challenger quel que soit leur niveau de compétences sur l'outil.

 

Les makers peuvent découvrir et redécouvrir les mêmes concepts à chaque nouveau projet: à chaque itération, ils ont alors l’opportunité d’approfondir leur compréhension des notions et de leur trouver d'autres usages.

 

Les makers échangent avec leur groupe, leur permettant de capitaliser sur la diversité des points de vue et des centres d'intérêt pour développer leur créativité.

 

Nos groupes sont constitués au sein de tranches d'âge déterminées avant tout en fonction de la maturité sociale et émotionnelle des makers et de leur capacité à structurer et formaliser leur pensée et leurs créations. Les outils utilisés et l'amplitude des projets possibles en découlent et y sont adaptés.

 

Les outils utilisés sont choisis parce qu'ils permettent de pousser très loin et permettent un champ de création infini.

 

Chaque atelier part d'une thématique commune, inconnue ou déjà connue des makers, qui fonctionne comme point de départ créatif. Chaque maker a alors l'opportunité de créer un projet différent afin de mobiliser de nouvelles compétences et explorer de nouvelles appétences.